Condamnation à mort d’A. Djalali en Iran : appels de France Universités et l’EHESS à sa libération
« France Universités vient d’apprendre que le docteur Ahmadreza Djalali, chercheur spécialiste en médecine d’urgence irano-suédois, et condamné à mort en octobre 2017 à l’issue d’un procès inique devant le tribunal révolutionnaire de Téhéran, doit être exécuté le 21/05/2022. France Universités demande instamment que cette exécution soit suspendue et souhaite que le docteur Djalali soit remis en liberté au plus vite, et sera attentive aux suites données », indique la conférence le 12/05/2022.
Une condamnation à mort que dénonce aussi l’EHESS
École des hautes études en sciences sociales
, le 16/05 : « À l’issue d’un procès entaché de torture, il a été condamné pour “corruption sur terre” en lien avec de prétendues activités d’espionnage. Aucun élément de preuve n’a été présenté pour démontrer qu’il est autre chose qu’un universitaire exerçant pacifiquement son métier. » Ahmadreza Djalali était professeur invité à la Vrije Universiteit Brussel en Belgique.
« Toute la communauté de l’EHESS appelle instamment à la non exécution de la peine et souhaite que le Docteur Ahmadreza Djalali soit remis en liberté immédiatement et sans condition. Elle adresse sa solidarité aux proches d’Ahmadreza Djalali et à toutes et tous les chercheurs emprisonnés ou faisant l’objet de quelconques pressions », ajoute l’école qui appelle à signer la pétition d’Amnesty International.
Fiche n° 1765, créée le 05/05/2014 à 12:19 - MàJ le 18/11/2024 à 10:58
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Fiche n° 1888, créée le 05/05/2014 à 12:22 - MàJ le 18/10/2024 à 15:01
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