TBS Education : renouvellement du campus toulousain ; des parcours fléchés RSE et sport
« Le renouvellement du campus de Toulouse, qui débutera à la rentrée 2023, est un projet majeur. Les locaux s’étendront sur 30 000 m2. Nos deux campus actuels, le campus Entiore à Quint-Fonsegrives et celui de Lascrosses de Compans-Caffarelli, vont fusionner. »
Tels sont les propos de Stéphanie Lavigne
Directrice générale @ TBS Education • Professeure de stratégie @ TBS Education
, directrice générale de TBS
Toulouse Business School
Education, à News Tank le 31/05/2023, dans le cadre de la délocalisation de News Tank à Toulouse, entre le 30/05 et 02/06/2023.
Le budget de construction s’élève à 120 M€ sur cinq ans, incluant un soutien financier du Conseil régional à hauteur de 6,6M€. L’école achète le terrain à Toulouse Métropole.
« Le bâtiment a été imaginé dans le respect des normes (…) en matière de DDRS
Développement durable et responsabilité sociétale
, pilier fondateur de la stratégie de TBS Education, récemment devenue société à mission. Il a notamment remporté l’appel à projets “Bâtiments NoWatt en Occitanie” lancé par la Région Occitanie, qui vise à soutenir des projets innovants de construction et de rénovation », indique l’école.
TBS Education prévoit par ailleurs de mette en place un parcours fléché RSE
Responsabilité sociétale et environnementale
, avec la possibilité de se spécialiser au sein du PGE
Programme grande école
, via un certificat d’excellence. L’école compte également lancer des formations dans les métiers du sport pour le programme Bachelor et le PGE au niveau master, à partir de la rentrée 2024.
Renouvellement des campus : « Nous travaillons beaucoup sur l’expérience étudiante »
« Je suis arrivée à la direction générale de TBS Education en octobre 2019, au moment où nous réfléchissions à renouveler les parcs immobiliers de nos quatre campus. Le chantier a débuté en septembre 2022, avec le campus parisien, et celui de Barcelone. En 2023, nous entamons les travaux à Casablanca et Toulouse », indique Stéphanie Lavigne.
Pour le Campus de Toulouse, « nous serons propriétaires de ces locaux. Comme nous avons un statut EESC Etablissement d’enseignement supérieur consulaire , nous avons un seul actionnaire depuis 1 903, la CCI Chambre de commerce et d’industrie de Toulouse Haute-Garonne. Toutefois, le bâtiment appartiendra à l’école et pas à la CCI. C’est l’école qui investit et s’endette. Les appels d’offres se sont positionnés. Nous travaillons avec l’architecte Francesco Aires Mateus nous accompagne également. »
« Construire des écoles adaptées à l’époque que nous vivons »
« Nous construisons de nouvelles écoles adaptées à l’époque dans laquelle nous vivons. Nous le faisons d’ailleurs après le covid et ce n’est pas anodin. Avant la pandémie, nous utilisions déjà le distanciel pour certains types d’enseignement : la technique était donc prête et au moment venu les professeurs ont fait un travail considérable pour adapter leurs cours.
Cependant, nous nous sommes rendu compte que ce n’était pas le modèle pédagogique que nous voulions pour l’école. Le 100 % distanciel, ça ne sera pas à TBS Education. Cette expérience nous a toutefois montré ce qui peut être fait en distanciel et en présentiel.
Nous construisons donc des campus centrés sur la question des usages. Nous travaillons beaucoup sur l’expérience étudiante », indique Stéphanie Lavigne.
“Le bien-être étudiant passe par les locaux”
« Le bien-être étudiant passe par les locaux. Sur la construction du nouveau campus toulousain, j’ai décidé d’installer mon bureau au milieu et pas au dernier étage du bâtiment. À l’inverse, ce dernier étage sera réservé aux associations et aux alumni », indique Stéphanie Lavigne.
« Sans étudiants et sans anciens, vous n’avez pas d’école. Les professeurs et personnes que nous formons comptent pour nous. Nous avons augmenté de +100 % nos ressources humaines dans l’ingénierie pédagogique, nous avons sept personnes. Nous avons aussi investi dans la technologie, les salles et le mobilier. Nous travaillons avec des architectes d’intérieur pour créer un lieu inspirant. »
Les nouveautés dans les programmes
Création de parcours fléchés RSE Responsabilité sociétale et environnementale
L’école a obtenu le label DDRS Développement durable et responsabilité sociétale pour la première fois en 2017, pour quatre ans et l’a renouvelé pour la même durée en 2022.
Stéphanie Lavigne précise : « Ce sont les étudiants qui ont poussé TBS Education à s’intéresser à la DDRS en organisant notamment les Assises nationales du développement Ddurable (ANEDD) pour la première fois en 2004. Nous incorporons depuis de la RSE et des sujets autour du développement durable dans toutes les matières, cursus, et parcours. Au sein du PGE Programme grande école , les étudiants ont des cours dès le L3 Licence 3 , puis en M1 et M2 Master 2 .
Nous avons un parcours de découverte en seconde année de PGE à Barcelone appelé “Sustainable business” de 200 heures.
Au départ, nous ne voulions pas avoir un parcours spécifique DDRS, mais nous nous sommes dit qu’il fallait répondre aux attentes des entreprises qui réclament des gens fléchés sur le sujet. Au sein du PGE, il sera possible de se spécialiser via un certificat d’excellence : au final, les étudiants auront un master et un certificat d’établissement qui garantit qu’eux, plus que les autres, ont été formés au changement climatique et à la transition.
Nous avons aussi des Masters of Science thématisés : la dernière année du PGE, il est possible de se spécialiser sur le sujet de la sustainability, avec un MSc Master of science dispensé à Barcelone “Sustainable financial management with data analytics” et le projet d’un second pour la rentrée 2024 à Toulouse. »
Création de formations dans les métiers du sport en bachelor et master PGE
L’école entend également créer des formations dans les métiers du sport pour le programme Bachelor et PGE au niveau master. Elles ouvriront à la rentrée 2024.
« Il s’agirait de formations sur les métiers liés au commercial et à la question du management des structures sportives. Nous finalisons ce sujet avec une entreprise partenaire forte. La coupe du monde rugby approche en France et nous avons une demande de la part des entreprises des métiers du sport », déclare Stéphanie Lavigne.
« Nous nous tournons également vers la formation continue avec un consortium d’entreprises de référence dans le milieu du sport. Nous travaillons beaucoup avec de rugbymen et women. Leurs carrières sportives s’arrêtent souvent vers 30 ans, nous les aidons dans leur reconversion. Nous nous appuyons sur des clubs et des figures du sport pour nous aider à concevoir des parcours.
Nous avons par exemple fait venir Tony Parker à l’école : nous travaillons activement avec lui pour faire de TBS Education une référence sur les métiers du sport. »
« TBS Education apporte notamment une dimension internationale à la ville »
« Nous avons évalué l’impact de l’école sur son territoire avec le label BSIS : il s’agissait de calculer la valeur économique que nous créons à l’échelle de la région. TBS Education apporte notamment une dimension internationale à la ville.
Au total, l’école accueille 6 000 étudiants par an sur tous ses campus, dont 25 % sont étrangers. De plus, la moitié du corps professoral vient des quatre coins du monde. »
Selon la directrice, TBS Education a toujours été tournée vers l’international. « Avant, l’école s’appelait Toulouse Business School, depuis avril 2021, c’est TBS Education. Ce nom reflète une démarche d’ouverture sur le monde. Dans les années 80, nous avons pris la mesure de l’international et nous avons ouvert des campus en propre - à Barcelone, puis Casablanca et Paris - alors que la plupart des écoles construisaient des programmes en nouant des partenariats avec des universités partenaires.
Nous avons obtenu la triple accréditation - AACSB Association to Advance Collegiate Schools of Business , Equis European Quality Improvement System (label) et Amba The Association of MBAs - dès 2003 et pour une période maximale de cinq ans. Si les étudiants ne comprennent les bénéfices de ces accréditations internationales qu’une fois diplômés, de notre côté, elles nous permettent de mettre en place de très beaux des partenariats internationaux. Nous nous interdisons de passer des partenariats avec des écoles qui n’ont pas au moins une accréditation, afin de garantir un certain niveau de qualité. Nous avons en tout 246 partenariats académiques. »
« Nous bichonnons nos étudiants internationaux »
TBS Education propose également depuis plus de 20 ans des Summer et Winter Schools - à Toulouse et Barcelone - aux universités partenaires.
« Il y a un programme de cours et des visites de ville. À Toulouse, nous travaillons avec l’Agence d’attractivité de la ville. Nous organisons quatre sessions par an, qui reçoivent chacune jusqu’à 100 étudiants, de 80 nationalités différentes. Nous ne nous fixons pas d’objectif de nombre. Certaines personnes tombent amoureuses de la ville et viennent nous rejoindre en Bachelor ou en Master of Science. Dans tous les cas, c’est un marqueur fort dans leur parcours.
Nous bichonnons nos étudiants internationaux. Nous avons monté un important dispositif d’accueil et l’école dispose du label Bienvenue en France. Nous les aidons à gérer leur visa, l’ouverture de leur compte en banque, leur hébergement ou encore leur transport. Nous avons du personnel dédié à leur bien-être, notamment en matière de santé physique et mentale, avec un psychologue. »
« Les étudiants étrangers ont la possibilité d’être membres d’associations de l’école, et peuvent s’engager pour faire rayonner la ville souvent en lien avec l’Agence d’attractivité de Toulouse. »
« Avoir des accords qui dépassent les étudiants »
« Au niveau des partenariats, le graal consiste à décocher un accord de double diplôme. Cela correspond à 5 % de nos accords, car ce sont des organisations difficiles à mettre en place au niveau des maquettes à l’international. Nous mettons prioritairement en place des doubles diplômes avec des acteurs du site toulousain, comme Sciences Po, l’Enac École nationale de l’aviation civile , l’Insa Institut national des sciences appliquées , et l’INP Institut national polytechnique de Purpan.
Nous essayons également d’avoir des accords qui dépassent les étudiants : nous souhaitons accueillir des professeurs invités, que nous hébergeons gratuitement. Ils font de la recherche avec nos professeurs.
Nous avons par exemple un centre d’excellence en RSE : 40 % de nos professeurs publient en RSE et développement durable. »
« En cinq ans, nous sommes passés de 90 à 128 professeurs permanents »
« En cinq ans, nous sommes passés de 90 à 128 professeurs permanents.
- 100 % d’entre eux sont docteurs ou PhD,
- 30 % d’entre eux ont une habilitation à diriger des recherches (HDR Habilitation à diriger des recherches ).
Nous incitons nos professeurs à la passer, car cela permet d’encadrer des doctorants au sein de l’école doctorale en sciences de gestion de l’Université de Toulouse Capitole.
- 54 % de nos professeurs sont internationaux. Ils ont une vraie plus-value.
- Ils nous connectent avec leurs institutions d’origine, ils apportent d’autres méthodes pédagogiques.
- La plupart enseignent en anglais.
Nos chercheurs ont obligation de produire 0,5 article par an.
- Nous devons être à trois articles tous les quatre ans pour les professeurs dans la moyenne. 70 % de nos publications sont dans le top 1 et 2 du ranking.
- Nous avons abandonné les critères du CNRS [la section 37 du CoNRS a cessé de classer les revues en sciences de gestion], nous sommes sur les classements de revues de l’AJG (Academic Journal Guide), de la Fnege et du Financial Times.
Le turnover des professeurs est quasiment nul, car nous mettons en place de bonnes conditions de travail. Nous avons des laboratoires de recherche par discipline. Ces laboratoires accueillent des invités extérieurs, des éditeurs de journaux, des professeurs d’autres universités. Lorsque nous avons une expertise forte sur un domaine, nous rencontrons des entreprises pour voir si elles peuvent nous accompagner, et si oui, nous créons une chaire. »
Création de deux chaires sur les sujets RSE et IA Intelligence artificielle
« Nous avons beaucoup de recherches en lien avec les entreprises du territoire, et donc en lien avec l’aéronautique et le spatial. C’est un partenariat gagnant-gagnant : à la fin, nous leur permettons d’avancer dans leur modèle, et nous, nous publions. Beaucoup de jeunes de chez nous vont travailler dans l’industrie après l’école. »
« Nous travaillons actuellement à créer une chaire sur les sujets RSE et une autre sur l’IA. »
ChatGPT : « Nous ne voulons pas interdire ces technologies, mais plutôt nous y adapter »
« Notre équipe est à la pointe sur les innovations pédagogiques. Nous testons tous les outils, comme ChatGPT. Contrairement à la prise de position de Sciences Po Paris, nous nous sommes dit que nous ne voulons pas interdire ces technologies, mais plutôt nous y adapter. À la place, nous avons fait un travail avec des professeurs pour comprendre, analyser et accompagner le corps professoral. »
En conséquence, l’école a fait évoluer sa posture sur l’IA conversationnelle et ses méthodes d’évaluation :
« Nous avons décidé que les élèves devaient valider les acquis fondamentaux sans IA, à travers des oraux et des QCM Questions à choix multiples . Par ailleurs, nous devons faire découvrir le fonctionnement de l’IA aux apprenants et développer leur œil critique. L’essentiel, c’est la capacité d’un jeune à analyser cet outil.
Nous avons engagé nos professeurs sur le sujet. Notre corps professoral a développé un livre blanc qui permet aux enseignants de l’école de mettre en place des modalités d’évaluation. Nous essayons de rédiger des documents porte-drapeau sur la production de connaissances : qui la produit, quand est-ce qu’elle est valable ?
Nous avons également développé des programmes sur l’IA et le big data, ces dernières années. Nous disposons d’un centre d’excellence sur le sujet.
Notre directeur de la recherche, Samuel Fosso-Wamba, porte cette discipline au sein de l’école et fait partie des chercheurs les plus réputés en France sur ce sujet. »
Comue Communautés d’universités et d’établissements Université de Toulouse : « Nous cherchons à savoir ce que nous pouvons mutualiser »
Concernant la place de l’école au sein du site toulousain, Stéphanie Lavigne détaille : « Au démarrage, seuls les établissements fondateurs pouvaient faire des choix sur la Comue Université de Toulouse , nous n’en faisions pas partie, nous étions parmi les établissements de second cercle.
C’est pourquoi nous avons décidé de nous positionner comme établissement membres dans la nouvelle version de la Comue [née le 01/01/2023 sous forme d’une Comue expérimentale].
Nous bénéficions donc maintenant des services renforcés de l’université pour l’accueil des étudiants (le Crous Centre régional des œuvres universitaires et scolaires , les inscriptions avec statut étudiant, l’accompagnement pour les soins médico-sociaux, le welcome desk). Nous travaillons aussi avec eux sur des projets numériques : tous les DSI Direction des systèmes d’information de tous les sites se rencontrent. »
« Nous participons également à des projets de développement pédagogique interdisciplinaire et à des projets de recherche portés par le site. »
« Nous cherchons à savoir ce que nous pouvons mutualiser, comme l’accueil de grands événements tels que des conférences internationales. Cela nous permet aussi de constater les complémentarités. Nous travaillons en bonne intelligence. »
« Nous sommes soucieux de ce qui se passe sur l’enseignement privé. »
Depuis décembre 2022, le MESR a mis en place un GT sur la régulation de l’enseignement supérieur privé. Stéphanie Lavigne revient sur le sujet :
« Dans les écoles de management, nous sommes soucieux de ce qui se passe sur l’enseignement privé.
À TBS Education, nous sommes étiquetés enseignement privé, pour autant nous avons un statut public puisque nous appartenons à la CCI. Nous sommes une institution à but non lucratif, avec une mission d’intérêt général (voir vidéo ci-dessous). »
« Taxer TBS Education comme une école poursuivant des intérêts privés assimilés à des logiques de financiarisation me gêne, car nous sommes une société à mission : nous avons des engagements très forts. »
« Ce qui est très problématique, c’est le niveau d’exigence qui est demandé à un établissement comme le mien qui délivre un diplôme visé et gradé, quand d’autres écoles font une fausse promesse aux apprenants et à leurs familles, car elles ne délivrent pas le même niveau de qualité et ni un diplôme reconnu par le ministère.
Il faudrait dire sur les stands des salons étudiants : il y a des écoles qui ne délivrent pas de diplôme reconnu par l’État. Certains parents sont mécontents quand nous refusons des élèves qui ont des bac +3, non reconnus par le MESR Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche . »
« Il y a une place pour tout le monde sur le marché, mais il faut que ce soit lisible »
« Il y a une place pour tout le monde sur le marché, mais il faut que ce soit lisible. Parcoursup pourrait devenir un critère pour les familles : si une formation n’est pas sur Parcoursup, cela signifie qu’elle n’est pas reconnue par la plus haute autorité d’enseignement supérieur en France, le MESR.
TBS Education est très active pour défendre le modèle grande école. Nous faisons également partie de la CGE Conférence des grandes écoles . Souvent les écoles qualifiées “d’officines” se targuent d’être championnes de l’employabilité. Dire que les grandes écoles ne sont pas professionnalisantes, c’est faux. Nous faisons des stages, de l’apprentissage, des césures, ce qui garantit une employabilité au meilleur niveau. À TBS Education, nous avons plus de 1 000 professionnels qui interviennent chaque année. »
Célébration des 120 ans de TBS
L’école fête cette année ses 120 ans. « Pour l’occasion, nous avons mis en place une campagne de communication à destination de nos étudiants, du personnel, des alumnis, des entreprises du territoire », indique Stéphanie Lavigne.
« Nous faisons un évènement par campus. Nous avons fait un événement à Casablanca avec les diplômés, les entreprises du territoire, les ministres de l’éducation, de l’économie, de l’emploi. Le 29/06, nous célébrons avec les anciens à Paris. C’était stratégique puisque nous avons 15 000 diplômés dans cette ville.
Puis, nous aurons un nouvel événement à Toulouse. J’aimerais organiser cette manifestation dans les premiers locaux de l’école : c’est un très bel hôtel particulier de Toulouse. Au temps des croisades, c’était l’Hôtel des Chevaliers. Il fait partie du patrimoine de la ville. Nous aimerions organiser une fête avec nos entreprises partenaires, présentes depuis le début. Enfin, nous aurons un évènement à Barcelone avec le personnel académique et administratif.
Cette année permet de marteler, 120 ans après, ce que nous sommes devenus et ce à quoi nous aspirons. »
Stéphanie Lavigne (TBS Education) répond à News Tank TV
La DG de TBS Education a également répondu à News Tank TV, l’émission proposée en partenariat avec l’ISCPA.
Stéphanie Lavigne
Directrice générale @ TBS Education
Professeure de stratégie @ TBS Education
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Parcours
Directrice générale
Professeure de stratégie
Directrice générale adjointe
Doyenne du corps professoral
Directrice du projet Sesame
Directrice du laboratoire de recherche « Stratégie et entrepreneuriat »
ATER en économie
Assistante d’enseignement en économie
Établissement & diplôme
Doctorat, Économie
Fiche n° 16252, créée le 25/02/2016 à 15:51 - MàJ le 15/07/2024 à 08:24
TBS Education
Catégorie : Écoles de commerce
Adresse du siège
20 Boulevard Lascrosses31068 Toulouse Cedex 7 France
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Fiche n° 2145, créée le 06/06/2014 à 12:28 - MàJ le 15/07/2024 à 08:25