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Covid-19 : le MNHN anticipe une perte d’au moins 5 à 7 M€ sur 2020 (Bruno David, président)

News Tank Éducation & Recherche - Paris - Interview n°179013 - Publié le 27/03/2020 à 14:19
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Bruno David - ©  D.R.

« Le premier impact pour nous est la chute de fréquentation du public réduite à zéro à cause du confinement de la population décidé par les autorités. Nous avons fait différentes projections de l’impact économique de cette situation. Globalement, nous anticipons une perte de recettes de 5 à 7 M€ sur 2020, à condition que notre activité d’accueil du public puisse reprendre au plus tard fin mai », déclare Bruno David, président du MNHN Muséum national d’histoire naturelle , dans le cadre d’une interview accordée à News Tank le 24/03/2020.

Il précise que le MNHN va devoir utiliser une partie de sa trésorerie de près de 50 M€, qui était prévue pour des investissements notamment immobiliers, pour compenser cette perte de recettes liées à la crise sanitaire. « C’est évidemment douloureux de devoir consentir un tel sacrifice après des années d’efforts, mais ma priorité est de m’assurer que nos personnels soient tous payés ».

Un coup dur qui s’ajoute aux grèves dans les transports fin 2019 et aux manifestations des gilets jaunes. Et ce alors même que le MNHN a dû engager depuis 2017 un redressement financier sans précédent, avec réduction de 22 % de ses dépenses de fonctionnement compressibles et passage de dix à trois départements scientifiques, « pour favoriser synergies ».

En cause : le Parc zoologique de Paris [ex-zoo de Vincennes] « bâti sur un partenariat public-privé et des hypothèses de fréquentation totalement irréalistes » qui a fait frôler la faillite en 2017 au MNHN. « Si la crise du coronavirus était survenue en 2017, le Muséum ne s’en serait pas relevé, en tout cas pas seul. »

Pour son président, « l’idée est aussi de ne pas reproduire les erreurs du passé en n’affectant pas les recettes générées par nos sites à leur entretien : c’est cela qui avait conduit à une dégradation telle du zoo de Vincennes et avait nécessité sa rénovation complète pour un coût faramineux ».

Impact de la crise du Covid sur l’organisation interne du MNHN et ses activités de billetterie, location d’espaces aux entreprises et mécénat totalisant « 40 % de notre budget de fonctionnement », grands chantiers immobiliers prévus sur 2020, arrivée dans la gouvernance de « personnes aux compétences de gestion éprouvées »… autant de sujets également abordés dans cette interview.


Bruno David répond à News Tank

Quel impact économique pourrait avoir la crise du Covid-19 sur le MNHN Muséum national d’histoire naturelle  ?

Le premier impact pour nous est la chute de fréquentation du public réduite à zéro à cause du confinement de la population décidé par les autorités. Nous avons fait différentes projections de l’impact économique de cette situation.

Globalement, nous anticipons une perte de recettes de 5 à 7 M€ sur 2020, à condition que notre activité d’accueil du public puisse reprendre au plus tard fin mai. Une fois le confinement levé, il pourrait y avoir un phénomène compensatoire, les gens auront peut-être plus envie d’aller visiter nos zoos, ménageries et expositions que d’habitude après avoir été confinés plusieurs semaines.

Une perte de recettes de 5 à 7 M€ sur 2020 »

Pour l’heure, l’ouverture prévue au 03/04/2020 de notre prochaine grande exposition sur les pierres précieuses, coproduite avec le joaillier Van Cleef & Arpels, est bien sûr reportée, mais sa date de fermeture le sera aussi. Plus largement, ce confinement de la population va entraîner un décalage dans le temps de toutes nos expositions prévues.

Il est clair que la baisse de certaines de nos dépenses générée par cette crise ne compensera pas celle des recettes, le printemps étant généralement pour nous la meilleure période en termes de fréquentation du public…

Et nous avions déjà été très affectés ces dernières années par les attentats, puis, plus récemment par les grèves dans les transports et par les manifestations des gilets jaunes qui ont freiné la très belle dynamique engagée ces dernières années et qui s’est traduite en 2019, par près de 3,3 millions de visiteurs sur nos sites, nous plaçant ainsi parmi les institutions culturelles et touristiques les fréquentées de notre pays.

Le MNHN, qui était au bord de la faillite en 2017, a-t-il aujourd’hui la santé financière suffisante pour faire face à cette crise ?

En 2017, la situation du MNHN était en effet critique à cause du Parc zoologique de Paris [ex-zoo de Vincennes] bâti sur un partenariat public-privé et des hypothèses de fréquentation totalement irréalistes ; cela a généré un déficit structurel pour ce parc qu’a dû endosser le MNHN seul de 2015 à 2017, asséchant la trésorerie de l’établissement. Si la crise du coronavirus était survenue en 2017, le Muséum ne s’en serait pas relevé, en tout cas pas seul.

Depuis 2017, nous avons heureusement obtenu un soutien de 14 M€ par an de l’État pour financer la redevance du Parc zoologique de Paris. J’ai eu un vrai appui du Mesri  Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation  : l’État nous a entendus et s’est engagé financièrement pour une remise à l’équilibre de nos finances et nous permettre de sortir de cette situation dont j’avais hérité à mon arrivée en 2015.

Dépenses de fonctionnement compressibles réduites de 22 % »

En contrepartie, nous avons dû réduire drastiquement nos dépenses de fonctionnement, de 22 % sur la partie compressible des dépenses (hors dépenses contraintes de fluides, sécurité, nourriture des animaux…), ce qu’aucun autre établissement public n’a fait en si peu de temps - c’est une économie gigantesque - , et remettre en cause les missions qui sont les nôtres.

L’idée est aussi de ne pas reproduire les erreurs du passé en n’affectant pas les recettes générées par nos sites à leur entretien : c’est cela qui avait conduit à une dégradation telle du zoo de Vincennes et avait nécessité sa rénovation complète pour un coût faramineux.

Quelles autres mesures avez-vous mises en place pour redresser les finances ?

Ces changements se sont aussi accompagnés d’un plan pour accroître les recettes liées à la fréquentation et aux partenariats avec les entreprises (mécénat, location d’espaces, cofinancement d’exposition et d’événements…), du passage de dix à trois départements scientifiques pour favoriser synergies et la création de quatre directions générales déléguées (ressources, collections, recherche/expertise/valorisation/enseignement et musées/jardins/zoos). Ces mises en synergie ont permis de réduire certains coûts.

Grâce au travail que nous avons accompli, nous avons donc rétabli l’équilibre financier du MNHN et nous possédons aujourd’hui une trésorerie suffisante qui devrait nous permettre de passer cette crise. En outre, le MNHN n’est pas encore passé aux RCE Responsabilités et compétences élargies , donc une majorité des personnels sont aujourd’hui directement payés par l’État.

Ma priorité : que nos personnels soient tous payés »

Mais nous avons, c’est vrai, beaucoup de personnels (près de 700) payés sur nos ressources propres : doctorants, Ater Attaché temporaire d’enseignement et de recherche , CDI et CDD… Pour le moment, nous avons donc gelé tout nouveau recrutement.

Nous saurons faire face, car nous avons près de 50 M€ en trésorerie. Mais nous allons devoir utiliser une partie de la trésorerie, qui était prévue pour des investissements notamment immobiliers, pour compenser cette perte de recettes liées à la crise sanitaire. C’est évidemment douloureux de devoir consentir un tel sacrifice après des années d’efforts, mais ma priorité est évidemment de m’assurer que nos personnels soient tous payés.

Quels étaient les grands chantiers programmés sur 2020 ?

Parmi les grands chantiers immobiliers, nous avions le clôt couvert de la galerie de paléontologie et d’anatomie financé à hauteur de 7 M€ par le CPER Contrat de plan État-région  : ce chantier qui avait démarré en début d’année devait durer deux ans, mais a été arrêté du fait des mesures sanitaires pour éviter de faire venir trop de personnes sur le site, donc il va juste être décalé.

En ce qui concerne l’extension de l’enclos des orangs-outangs avec une grande volière à construire (3 M€) et la rénovation de celui des reptiles dans la ménagerie (12 M€), les marchés sont passés et les moyens sont là, mais les travaux n’ont pas commencé, cela va sans doute aussi être décalé.

Nous avons aussi un projet immobilier en cours sur notre site de Brunoy, cela nécessite une signature avec la Région Île-de-France, le conseil départemental de l’Essonne et la communauté d’agglomération du Val d’Yerres Val de Seine qui se sont engagés collectivement à participer financièrement à hauteur de 8 M€ à l’opération.

J’espère que cela ne sera pas remis en cause en raison de la crise du Covid, car le MNHN ne pourra pas assumer la totalité du chantier seul… je suis optimiste, même si cela va prendre un peu de retard.

Bruno David indique qu’il y a aussi eu des changements à la gouvernance du MNHN « début 2020, avec la nomination à mes côtés d’Emmanuel Skoulios comme directeur général délégué ». Ayant précédemment travaillé au ministère de l’économie et des finances et au cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, Emmanuel Skoulios a pris en charge la DGD aux ressources en charge des affaires juridiques, des finances, des RH, de l’informatique, de la logistique et de la sécurité.

Issu de l’équipe de direction générale de François Durovray, président du conseil départemental de l’Essonne, Jérôme Gestin, également passé par Bercy, a lui été recruté en tant que directeur général délégué adjoint « début mars 2020. Le Muséum a souhaité s’entourer de personnes aux compétences de gestion éprouvées pour accompagner son développement », précise Bruno David.

Le MNHN a aussi des ressources liées au mécénat et à la location d’espaces à des entreprises : quel impact de la crise sanitaire sur ces activités ?

Nous avions remonté ces activités de mécénat et de locations d’espaces depuis 2017 qui ont dépassé ensemble 4 M€ de recettes en 2019, cela pourrait donc constituer un gros manque à gagner pour nous.

Pour l’instant la location d’espaces est bien sûr à l’arrêt total et sa reprise après la crise dépendra du comportement des entreprises et surtout de l’état de leur trésorerie : c’est la grande inconnue. Il en va de même pour certains de nos mécènes qui au sortir de cette crise n’auront peut-être plus les moyens financiers pour poursuivre leur soutien financier au Museum.

Billetterie, location d’espaces, mécénat : 40 % du budget de fonctionnement »

Au total, les ressources propres du MNHN générées par la billetterie, la location d’espaces et le mécénat représentent 40 % de notre budget de fonctionnement, c’est énorme. Je reste néanmoins confiant, car depuis trois années, nous avons noué des relations durables et profondes avec le monde économique qui est particulièrement sensible aux enjeux de la biodiversité que porte le Muséum.

Et sur le fonctionnement interne du Muséum, quel est l’impact de cette crise sans précédent ?

Très en amont, dès début mars, avons anticipé et fait un travail important de mise à jour notre de notre PCA (plan de continuité d’activité). Aujourd’hui, tous les personnels pouvant être en télétravail le sont. Mais certains métiers exigent une présence sur site, notamment certains personnels des équipes gérant nos trois zoos : on ne peut pas nourrir et soigner nos 6400 animaux à distance !

Notre plus grosse inquiétude  : les animaux »

Notre plus grosse inquiétude concernait en effet la gestion des animaux de nos zoos et animaleries scientifiques. Mais nous avons anticipé ce problème et organisé les choses en amont, en identifiant précisément les agents qui seraient en charge d’aller s’en occuper et leurs remplaçants potentiels, avec des roulements prévus.

Certains personnels de sécurité sont aussi encore présents sur nos sites, car nous avons tout de même près de 700 hectares à sécuriser au total sur l’ensemble de nos implantations, mais eux sont plus facilement remplaçables en cas de maladie.

Au 24/03, Bruno David indique que le MHNH comptabilisait trois cas confirmés de Covid-19 parmi ses agents, « heureusement pas de forme grave », et environ dix cas suspects. « J’ai moi-même été la dernière personne en contact avec un de ces trois cas confirmés. Mais pour l’heure, je me réjouis que ces trois cas et les autres cas « suspects » ne présentent aucun signe de gravité".

Combien de personnels du MNHN télétravaillent et combien sont encore sur site ?

Au total, nous avons environ 10 % de nos personnels qui travaillent encore ponctuellement sur nos sites (agents de sécurité, vétérinaires, soigneurs, jardiniers…) pour lesquels j’ai signé un arrêté autorisant leurs déplacements et fournissant la liste des noms des personnels concernés.

Les autres personnels du MNHN sont chez eux en télétravail (presque 60 %), ou en autorisation spéciale d’absence (environ 30 %) parce qu’ils doivent s’occuper de leurs enfants ou que leurs activités ne sont pas télétravaillables. Parmi ceux qui continuent à travailler à distance, plusieurs services sont cruciaux tels les RH pour continuer à assurer les payes ou bien encore la direction des systèmes d’information qui a, par exemple, attribué 950 canaux VPN Virtual private network (contre 40 en temps normal) pour permettre aux agents d’accéder à divers logiciels et base de données dont ils ont besoin pour télétravailler.

Les agents du Muséum qui sont obligés d’aller travailler sur vos différents sites ont-ils des équipements de protection adéquats contre ce nouveau coronavirus ?

Nous essayons de leur fournir un maximum de protections et ils prennent le maximum de précautions. Tous les agents de sécurité se sont vu proposer des masques FFP1 et du gel hydroalcoolique a été largement distribué. Les personnels affectés aux zoos font toutes leurs réunions en extérieur pour réduire les contacts rapprochés. Mais ce n’est pas toujours possible de limiter les contacts interpersonnels : par exemple, pour nourrir les lions, on ne peut pas le faire seul.

6000 masques FFP2 donnés à l’ARS »

Avant le déclenchement de cette crise, il nous restait un stock de 6000 masques FFP2 constitué lors de la crise de la grippe aviaire AH1N1, mais aussi 20 000 masques FFP1 et du gel hydroalcoolique. Nous avons donné tous les FFP2 et 50 % des FFP1 à l’agence régionale de santé pour qu’elle les redistribue aux personnels soignants dans les hôpitaux. Nous avons aussi donné à l’ARS un stock de gel hydroalcoolique dont la date de péremption officielle était dépassée, mais qui était encore utilisable.

Plus largement, nous avons mobilisé nos différents laboratoires pour qu’ils recensent les moyens matériels et humains qu’ils pourraient fournir pour aider les autorités sanitaires à lutter contre l’épidémie.

Nous sommes en train d’échanger avec d’autres organismes de recherche pour proposer une offre structurée. Il s’agit surtout de compétences pour réaliser des tests de dépistage du nouveau coronavirus par PCR. Les propositions pour aider affluent des laboratoires depuis mi-mars, le défi consistant maintenant à synthétiser tout cela pour pouvoir proposer une offre cohérente à l’ARS Agence régionale de santé dans quelques jours.

Côté enseignement, Bruno David indique que le MNHN fonctionne « comme une petite université » et a basculé sur de l’enseignement à distance « qui fonctionne bien, mais si cela ne vaut pas des cours en présentiel. Nos stagiaires (la plupart en master 2) poursuivent aussi leur stage à distance quand c’est possible, avec maintien de la gratification ».

Les activités de recherche se sont elles « arrêtées pour la plupart ». Certains chercheurs ont toutefois été autorisés à emporter chez eux du matériel avant la mise en confinement : « des scientifiques de notre station de Concarneau ont par exemple emporté des loupes binoculaires à domicile pour continuer leurs travaux.

Mais j’ai dû interdire les missions scientifiques : des chercheurs de la station de Dinard devaient par exemple aller en mission dans l’estuaire de la Loire pour faire du marquage de poissons, j’ai bien évidemment dû l’annuler. Par ailleurs, nous avions aussi des stagiaires expatriés à Madagascar : ils sont tous rentrés le 23/03 sur l’Hexagone et sont actuellement en quarantaine ».

Et vous, dans votre fonction de président du MNHN, comment vous organisez-vous au quotidien ?

Je suis en télétravail. J’ai des réunions quotidiennes avec mes plus proches collaborateurs par visioconférence et tous les lundis avec l’équipe de la présidence, et évidemment les trois directeurs de départements et les quatre directeurs généraux délégués.

La 1re semaine de confinement a été frénétique »

J’avoue que la première semaine de confinement a été assez frénétique pour mettre en place toutes les procédures nécessaires. Les personnes du MNHN sont très dynamiques : des propositions me remontent de toutes parts : ce midi, en l’espace d’un déjeuner de 35 minutes, j‘avais déjà reçu plus de 30 mails ! Je dois donc tempérer les ardeurs, le plus urgent étant de mettre de la méthode, des priorités et de se concentrer sur les actions permettant que l’établissement continue à fonctionner.

Quels outils numériques utilisez-vous pour diriger le MNHN à distance depuis chez vous ?

J’ai déjà utilisé Renavisio pour des réunions, par exemple pour un conseil des membres d’Allenvi et un comité de direction du MNHN, sans aucun problème technique. J’utilise aussi beaucoup Whatsapp pour des réunions en petit comité qui fonctionne aussi plutôt bien et également Zoom.

Ces outils ne sont pas la panacée, notamment du point de la sécurité informatique, mais les circonstances exceptionnelles nous obligent à y avoir recours.

D’autres réunions en visioconférence vont être mises en place avec tous les services du MNHN. J’ai également fait une courte vidéo à destination des personnels pour les informer des différentes étapes en cours ou à venir. J’ai déjà appelé tous nos sites un par un sur tout le territoire pour faire un point.

Très concrètement, je dispose aussi d’un petit boîtier de connexion à Internet pour ne pas surcharger la box de mon domicile. J’ai aussi une clef électronique sur mon ordinateur me permettant d’apposer à distance une signature authentifiée sur des documents officiels, par exemple pour des demandes de financement.

Bruno David


• Lauréat du Prix Lamothe de la Société Géologique de France (2002)

• Fellow de la Willi Hennig Society et de la Linnean Society de Londres (2016)


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Parcours

Muséum national d‘Histoire naturelle (MNHN)
Président du conseil scientifique
CNRS Écologie & Environnement (Inee)
Directeur-adjoint scientifique en charge de la biodiversité, de l’outre-mer et du suivi des appels à projets lancés dans le cadre des investissements d’avenir
Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directeur de l’UMR CNRS 5561 « paléontologie analytique et géologie sédimentaire » (CNRS, Université de Bourgogne), devenue en 2003 le laboratoire Biogéosciences (CNRS, UBFC, EPHE)

Établissement & diplôme

Université de Bourgogne (UB)
Doctorat d’Etat, ès science, sur l’évolution des oursins
Université de Franche-Comté (UFC)
Thèse de 3e cycle en géologie/sciences de la Terre

Fiche n° 12576, créée le 22/07/2015 à 09:54 - MàJ le 17/08/2023 à 16:32

Muséum national d‘Histoire naturelle (MNHN)

Catégorie : Établissements publics


Adresse du siège

57 Rue Cuvier
75005 Paris France


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Fiche n° 2225, créée le 25/06/2014 à 11:12 - MàJ le 17/10/2024 à 18:06


© News Tank Éducation & Recherche - 2024 - Code de la propriété intellectuelle : « La contrefaçon (...) est punie de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende. Est (...) un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d'une oeuvre de l'esprit en violation des droits de l'auteur. »

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